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vendredi 2 juin 2017
Un éphéméride incontournable (1re partie)
Et oui, au cas où vous n’auriez lu aucun journaux, ou assister aux informations, le monde de la pop musique fête un anniversaire ! Il y a 50 ans, quelques disquaires présentaient un album qui montrait un jeune homme, plutôt de mauvaise humeur, sur un fond vert peu attrayant. Et oui, il y a 50 ans, un premier juin 1967, un certain David Bowie sortait son premier album, faîtes de chansons plus proches du cabaret que du rock, qui en vérité se démarquaient du blues qu’il avait pratiqué avec diverses formations.
Euh..attendez, …Il y a comme une erreur de casting ! De quoi je parle ! On ne fête pas des 50 ans de ….Ah mais oui !...Et oui donc, le premier juin 1967, sortait un album qui allait faire l’unanimité (enfin, pas tout de suite, auprès des critiques), « Sgt Peppers lonely heart club band », huitième album des Beatles, après déjà deux chefs d’œuvres, « Rubber soul » (65), mais surtout « Revolver » (66). Euh…et quant au jeune homme et son premier disque, qui attendait déjà que le succès frappe à sa porte, il devra attendre encore quelques années pour devenir à son tour le maître de la décennie suivante. Pas de chance pour lui, si son album sortit le même jour, mais, si Bowie avait lancé son album une semaine plus tard, il n’en aurait pas vendu un de plus. De même pour les Beatles.
Certains considèrent que « Revolver » démontraient de plus nombreuses facettes du talent du groupe, entre, le plus traditionnel (For no one, Here There and Everywhere, le rock d’Harrisson, Taxman), et de véritables inventions dues en partie à George Martins les voyages dans les nuages de Lennon (She said, She said, Tomorrow never knows), et l’
« Héroine »du feuilleton que le groupe fréquentait régulièrement.
Entre ces deux tendances, Got to get you into my life de Paul, une chanson soul enlevée par des cuivres imposants, ou le mystérieusement sombre Eleanore Rigby. Et je ne parle même pas de la chanson, numéro 1 au bilboard des clubs de supporter de football, Yellow submarine. D’autres, transformaient les qualités de « Revolver », en défauts que n’avait pas « Sgt Peppers », c’est à dire une homogénéité sonore. Car, comme on le sait, il n’était pas question de concept album, même si ce fut l’idée première de Paul, qui voulait (un peu comme Ziggy Stardust de Bowie en 72) montrer l’histoire de ce groupe aux vêtements militaires fluoresçants. Il voulait une œuvre d’un nouveau groupe qui ne serait pas les Beatles. Cet album qui était conçu pour être écouté du début à la fin, marqua aussi le début du recul du single. Les années qui suivirent, les 7 pouces, comme on les appelle, auront le rôle d’attirer le public vers les albums, étant inclus dans ceux-ci. (1ère partie)
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