……« Je me suis presque jeté par la fenêtre, quand j’ai appris que l’école de la Portela avait gagné le groupe spécial de 2017 », déclarait Zeca Pagodinho.
Par ces mots, le sympathique sambiste ne rendait pas service à la seule partie du journalisme écrit, qui parvient à maintenir la tête hors de l’eau ! Le journalisme sensationnaliste!…Zeca ! Soit tu sautes, et on en parle et on remplit des pages, soit tu ne sautes pas, et tu peux simplement exprimer ta joie, qui ne sera même pas relayée dans la presse écrite.
Il y a peu, j’écrivais que - pour des raisons encore à développer - que le journaliste traditionnel allait bientôt reprendre un rôle qui lui était dû. Et aujourd’hui même, « grâce » au nouveau président des Etats-Unis, les manchettes des quotidiens comme le Globo de Rio, et les Folha et Estado de São Paulo, se rejoignaient pour dire que les actes et déclarations incompréhensibles du chefs d’état américain, redonnaient une importance perdue au journalisme écrit que nous appelerons d’analyse politique (car bien sûr, il y a le journaliste neutre qui relate les faits jusqu’au journalisme critique qui est l’opposé de son confrère objectif).
beaucoup de vent aujourd'hui?
Mon humble analyse n’allait même pas jusqu’aux U.S.A., mais nous y reviendrons. Deuxième sujet de ce post, en une trentaine de ligne, mais qui mériterait un ouvrage entier…C'est pour cela que je vous invite à le lire sur le site Tropicalia MPB:
http://www.tropicalia.be/
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire